L'humanité sauvée du SARS-COV2?
ENFIN UNE ÉTUDE SÉRIEUSE SUR UN
TRAITEMENT RÉVOLUTIONNAIRE EFFICACE CONTRE LA COVID19
COMMUNIQUÉ (05 juin 2020 - 18h16) PAR INSERM (SALLE DE PRESSE)
IMMUNOLOGIE, INFLAMMATION, INFECTIOLOGIE ET MICROBIOLOGIE - SANTÉ PUBLIQUE
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Alors que l'épidémie liée au coronavirus SARS-CoV2 se propage dans le monde. la recherche se mobilise pour accélérer la production des connaissances sur ce virus, sur la maladie qu'elle provoque (Covid-19) ainsi que les moyens de la guérir et de la prévenir.
En Suède l'équipe du professeur d' immunologie Edberg Simonson, du célèbre institut Karolinska, a travaillé avec acharnement sur une piste tenue secrète jusqu'à ce jour.
En effet après avoir récupérer en Chine des Pangolins infectés par le virus, ils ont essayé d'isoler des anticorps protecteurs dans les différents organes des animaux.
Mais c'est par hasard après avoir oublié un spécimen sur une paillasse, qu'ils se sont aperçus qu'une molécule contenue dans les excréments des individus infectés, s'était révélée extraordinairement efficace in vitro contre le SARS-Cov2.
En effet ce dérivé du composé organique scatol ou 3-méthylindole, posséderait de puissantes propriétés virucides.
Fort de cette constatation ils ont mis en place très rapidement des essais cliniques de grande envergure sur 4554 patients, tous testés positifs à la COVID19.
Pour une fois les essais sembleraient avoir été réalisés dans les règles de l'art :
trois groupes sensiblement identiques en nombre d'individus ont été déterminés par randomisation stricte et rigoureuse,
-le premier groupe a été soigné par les traitements de référence permettant essentiellement de lutter contre les symptômes et les complications,
-le second groupe par l'hydroxychlroroquine,
-le troisième groupepar le fameux dérivé du scatol (2-chloro 3-methylindole).
Il a été constaté sans équivoque dans le dernier groupe des différences hautement significatives avec les deux autres groupes:
Aucun décès durant les six semaines d'observations et une disparition totale de la charge virale en cinq jours. Cette étude de phase 3, publiée dans The New England Journal Of Médecine, devrait permettre de commercialiser très rapidement dans les mois qui viennent un médicament qui aura en plus un prix bas vraisemblablement très proche de celui l'hydroxychlroroquine.
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